Certains d'entre vous, dans leur infinie générosité, n'hésitent pas
à m'attribuer à longueur de commentaires le titre élogieux et flatteur de "Maître"
(jouant habilement sur la sonorité de mon pseudo choisi à cet escient).
Certes, cela flatte l'encolure de mon ego.
(et un blogue n'est-il pas au départ fait pour nourrir ce fier animal
qui piaffe en chacun de nous ?)
Cela agace aussi quelques pisse-froids (mais on s'en fout)
Cependant, ma modestie naturelle et le regard de l'Histoire veulent
que je rétablisse ici une réalité incontournable :
il n'y a, pour moi, qu'un seul Maître.
J'ai eu le privilège de le côtoyer un peu, d'humer le doux parfum de sa gloire
dans l'ombre de son manteau de lourd brocard pourpre bordé d'hermine,
et il consentit à m'élever (au grain) au rang de
Soixante-Quinze-Senti-Maître.
Ce qui renvoie les prétentions de quelque gloire du porno
à plus d'humilité, vous en conviendrez.
L'unique, le seul, Gotlib
(que le Très Haut le préserve des vilains et des contrôleurs du fisc)