L'humour (sic) de droite est en deuil.
D'où "Lavabo".
Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, "toutes les oeuvres présentes sur ce site appartiennent exclusivement à l'auteur (sauf mention contraire) aux termes des articles L 111-1 et L112-1 du code de Propriété Intellectuelle. Toute reproduction, diffusion publique, usage commercial sont par conséquent interdits sans autorisation du titulaire des droits." Donc, merci de ne pas balancer mes dessins et mes images aux quatre coins de l'internet ou d'ailleurs...
Important : Les commentaires étant modérés, ils n'apparaîtront qu'après validation de ma
part. Ne vous étonnez pas de ne pas les voir s'afficher immédiatement.
(C'est valable aussi pour l'hypocrite lectrice, ma (moins) semblable, ma soeur... et plus si affinités, et pour les quelques ignares égarés ici, la phrase est empruntée à M. Charles Baudelaire, dans ses bien jolies "Fleurs du Mal")
L'humour (sic) de droite est en deuil.
(Absolument authentique, cherchez vous-mêmes...)
Suite à un GROS problème persistant et particulièrement agaçant appelé "erreur 133" sur le système qui héberge ce modeste et incontournable blogue (problème dont, si j'en crois le forum interne, je ne suis pas la seule victime, heureusement pour ma parano, mais pour lequel ce serait quand même bien d'avoir quelques explications des administrateurs, ého, réveillez-vous les mecs...),
il m'est IMPOSSIBLE d'ajouter de nouvelles images actuellement.
Et c'est bien dommage.
Et je ne vous parle pas des problèmes d'ascenseur pendant tout le week-end...
Bonne année quand même à tout le monde.
Suite à un beugue indépendant de ma volonté qui affecte le système qui héberge gentiment mon blogue, je ne suis pas en mesure de charger de nouvelles images dans mes fichiers ; en clair, je ne peux pas rentrer de nouveaux dessins sur ce site depuis hier. C'est fâcheux. C'est d'autant plus fâcheux qu'un blog de dessinateur sans dessin n'a plus vraiment de raison d'être.
J'ai pensé un moment qu'il s'agissait d'un sabotage, la concurrence jalouse de mon succès pourtant légitime, le patron d'Albin M*** qui en a marre de me voir perdre mon temps sur internet au lieu de lui livrer mes pages (j'y travaille, j'y travaille)... Mais je ne suis apparemment pas la seule victime de cet incident désagréable, ce qui relativise ma paranoïa.
Veuillez donc excuser, comme on dit, cette interruption momentanée de nos programmes.
Et à bientôt j'espère.